16 avr. 2009

Syrano.

Du fond d’une malle, Je vois qu’ils te font du mal.
Tu as rangé nos fables et ne ris plus de mes histoires.
Oublies tu ton enfance ? Tu ne pleures plus sur moi ton innocence
Et moi j’ai peur.
Du fond d’une malle, Je vois qu’ils te font du mal.
Tu as rangé nos fables et ne ris plus de mes histoires.
Oublies tu ton enfance ? Tu ne pleures plus sur moi ton innocence
Et moi j’ai peur du noir.

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